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Alberto Berasategui
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Carlos Costa
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Alberto Berasategui
 
Carlos Costa
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Pituus
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Kaikki
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Savi
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23 elo 1995
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Gilbert.R
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Bruguera.S
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Davin.F
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Altur.J
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Chang.M
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Burillo.J
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N.Kulti
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R.Krajicek
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A.Corretja
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T.Carbonell
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J.Burillo
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A.Cherkasov
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A.Medvedev
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A.Costa
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A.Gaudenzi
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J.Golmard
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Pour Patrick McEnroe, il y a un favori auquel on n’a pas encore pensé Ce mardi, c’est le début des quarts de finale à Roland-Garros. Plus que jamais, la question du favori au titre est sur toutes les lèvres. Si, chez les femmes, la question semble être vite résolue, étant donné la domination sans partage de Swiatek, chez les hommes, le débat fait encore rage.  À ce sujet, l’avis de Patrick McEnroe est très intéressant. En effet, dans une question ouverte, il se demande si Grigor Dimitrov ne pourrait pas entrer dans la discussion : “Grigor pourrait-il réellement le faire ?”.  Ce qui est certain, c’est que le Bulgare réalise un superbe tournoi parisien, comme le montre sa belle victoire face à Hurkacz en huitième (7-6, 6-4, 7-6). Avant toute chose, le 10e mondial va déjà essayer d'escalader une montagne prénommée Jannik Sinner. 
Djokovic vole au secours de Goffin : “Je suis favorable à ce qu’un joueur s’élève contre les personnes qui lui manquent de respect” C’est un des sujets qui a fait massivement réagir depuis le début de ce tournoi de Roland-Garros : l'attitude du public. En plus des spectateurs s’exprimant pendant les points, ce qui a tout de même mené Swiatek à demander au public d’être plus respectueux, c’est surtout l’attitude des supporters lors du match entre Goffin et Mpetshi Perricard qui a fait scandale.  Pour rappel, lors de ce match du premier tour, le public français avait, semble-t-il, dépassé les limites. Encourageant le joueur français avec beaucoup de ferveur, certaines personnes avaient également cherché à déstabiliser son adversaire.  Très remonté après sa victoire (4-6, 6-4, 6-3, 6-7, 6-3), Goffin, très discret par habitude, avait dénoncé l’attitude du public, expliquant s’être fait constamment insulter et avoir même vu une personne lui cracher son chewing-gum dessus. Les propos alarmistes du Belge, expliquant qu’il n’y avait pas d’endroit où le public se montrait plus irrespectueux qu’en France, avaient grandement fait réagir.  Questionné à ce sujet, Djokovic, habitué à faire face à un public hostile, a tenu à venir au soutien de son collègue : “Ce sont des fans très passionnés. Parfois, ils ne sont pas faciles. J’ai vécu des histoires d’amour avec les fans ici, mais aussi des matches difficiles. Nous ne sommes pas au football ou au basket, mais en même temps il nous faut une bonne atmosphère. La limite est mince quand on commence à dépasser les bornes. Je comprends qu’un joueur comme Goffin ait réagi l’autre jour. Je suis favorable à ce qu’un joueur s’élève contre les personnes qui lui manquent de respect.”
Au bout de la nuit, Zverev évite le piège Rune à Roland-Garros !  Alexander Zverev est encore passé par toutes les émotions ce lundi. Déjà largement malmené au troisième tour (vainqueur en 5 sets), il a encore eu besoin d’un énorme combat pour s’en sortir. Face à un Holger Rune toujours aussi imprévisible et combatif, l’Allemand a bien failli prendre la porte. Ne lâchant pas l’affaire, il a fini par faire craquer un Danois simplement un peu moins bon (4-6, 6-1, 5-7, 7-6, 6-2 en 4h15). Très dominateur, le numéro 4 mondial s’est compliqué la vie, mais il verra bien les quarts de finale. Pour une place en demi-finale, il affrontera Alex De Minaur, tombeur surprise de Daniil Medvedev. Ce n'était pas forcément le match le plus intense qu'on ait vu cette année à Roland-Garros. Dans un huitième de finale où les deux hommes n'ont pas forcément joué leur meilleur tennis en même temps, c'est presque contre le cours du jeu que ce match s'est fini à presque 2h du matin.  En effet, Zverev a très vite semblé un cran au-dessus, mais, manquant cruellement de réalisme et se montrant bien plus nerveux qu'à l'accoutumée, il n'a cessé de relancer son adversaire. Agressif, Rune a fréquemment fait mal à son adversaire, mais sa trop grande irrégularité lui a finalement coûté le match (60 coups gagnants, 50 fautes directes).  De l'autre côté du filet, le 4e mondial a mis du temps, mais il a fini par dompter sa propre fébrilité pour s'imposer très logiquement. Auteur d'une partie globalement très solide (61 coups gagnants, 39 fautes directes, 16 aces), il n'est plus qu'à trois matchs de son graal absolu (remporter un titre en Grand Chelem). Cela dit, le grand temps passé sur le court pourrait commencer à compter pour l'Allemand, surtout s'il veut soulever la coupe dimanche.  
Le programme de mardi à Roland-Garros : début des quarts de finale Les choses se précisent à Roland-Garros où les premiers quarts de finale sont au programme ce mardi. Quatre simple seront ainsi disputés, deux du tableau dames et deux du tableau messieurs. Tous prendront place sur le Court Philippe Chatrier. A partir de 11h00, Coco Gauff tentera de résister au retour en forme d'Ons Jabeur. Suivra Iga Swiatek face à une Marketa Vondrousova qui tentera l'exploit de mettre fin au règne de la Polonaise. Puis, pour conclure la session de journée, Jannik Sinner devra se méfier sérieusement des très bonnes sensations actuelles de Grigor Dimitrov. Enfin, à partir de 20h15, le choc du jour opposera Carlos Alcaraz à Stefanos Tsitsipas en session de nuit. Très bonne 10e journée à toutes et à tous.
Djokovic dans le doute : "Pas sûr de pouvoir jouer mon quart de finale" Novak Djokovic en a dit plus sur sa blessure au genou droit en conférence de presse, après sa victoire contre Francisco Cerundolo (6-1, 5-7, 3-6, 7-5, 6-3). Le n°1 mondial a expliqué qu'il avait déjà une petit gêne depuis plusieurs semaines, mais qu'elle s'était transformée en une douleur très gênante en début de 2e set. Ce sont ensuite les antidouleurs qui lui ont permis de mieux jouer en fin de 4e set et dans le 5e. Il passera des examens ce mardi qui lui indiqueront s'il est en état de jouer son quart de finale face à Ruud prévu mercredi. Novak Djokovic : "Ces derniers jours, je dirais que j'avais une petite gêne au genou droit, mais rien qui ne m'inquiétait vraiment. Bien sûr, le final tardif de samedi (3h15 du matin face à Musetti) n'a pas aidé pour le sommeil et la récupération, mais je me sentais très bien en débutant le match. Aussi bien que possible, au vu des circonstances, et j'ai très bien joué dans la première manche. Puis, dans le troisième jeu du deuxième set, j'ai glissé, comme souvent aujourd'hui. C'est le genou qui a pris. C'était douloureux et j'ai demandé un temps mort médical pour que le physio vienne s'en occuper. Ça m'a sorti du match. Pendant deux sets et demi, je ne voulais pas m'engager dans des rallyes trop long. À chaque fois qu'il fallait courir sur une amortie ou changer de direction, je n'étais pas à l'aise. (...) Je ne pouvais pas être à 100 %, pour changer de direction, courir sur les amorties sur lesquelles je ne pouvais pas réagir. Même pour lui (Cerundolo), ce n'était pas facile d'affronter un joueur qui ne pouvait pas bouger pendant deux sets et qui s'est mis d'un coup à bien jouer. (...)  À un moment, je ne savais pas si je devais continuer, pour être honnête. J'ai pris des médicaments, et à la fin du troisième set, j'en ai demandé plus, la dose maximum, qui a fait effet après 30 à 45 minutes. Ça correspond à la fin de la quatrième manche, quand ça a commencé à aller mieux. Je me sentais moins limité dans mes mouvements. Et pratiquement tout le cinquième set s'est déroulé sans douleur. Mais les effets des médicaments ne vont pas durer. Je pense qu'on fera des examens supplémentaires demain (mardi). J'ai vu le médecin après le match, il y avait du bon et des zones d'inquiétude, on verra. Je ne peux pas vous en dire plus pour le moment. Oui, j'ai réussi à gagner, mais je ne sais pas si je serai en mesure de jouer le prochain match. "
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Djokovicin myyttinen ottelun jälkeinen haastattelu 3. kierroksen voiton jälkeen Musettista Roland-Garrosissa 2024.
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