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John Isner
67
3
0
0
0
Roger Federer
7
6
0
0
0
Isner
-
Federer
Score
1h57
Merci d'avoir suivi cette finale avec nous et rendez-vous donc la semaine prochaine à Miami pour une nouvelle magnifique quinzaine de tennis.
1h31
Match Federer ! L'attaque de coup droit d'Isner finit sa course dans le filet et le Suisse exulte, il remporte son quatrième titre à Indian Wells, le premier depuis 2006.
1h29
Set 2
1h29
3
-
6
6-7 3-6
+
1h29
30-40, et voilà la première balle de match, une balle de titre, pour Federer
1h27
Break confirmé sans soucis par Federer. Isner va servir pour rester dans cette finale.
1h27
3
-
5
6-7 3-5
+
1h24
Et le break de Federer ! Le Suisse a parfaitement su répondre par quelques magnifiques passings à des montées au filet un peu trop timides d'Isner et il prend ainsi une belle option sur la victoire. Voyons si Isner va être capable de réagir.
1h22
3
-
4
6-7 3-4
+
1h22
15-40, deux balles de break pour Federer
1h21
La passe d'armes se poursuit, toujours pas de souci pour Federer au service.
1h19
3
-
3
6-7 3-3
+
1h18
Isner est en revanche toujours aussi efficace derrière son service. Il conclut par un Ace ce jeu dans lequel il n'a concédé qu'un petit point.
1h17
3
-
2
6-7 3-2
+
1h15
Et un jeu blanc de plus pour Federer au service. Le Suisse a clairement pris le dessus dans l'échange maintenant.
1h14
2
-
2
6-7 2-2
+
1h12
Jeu plus compliqué pour Isner qui est très loin derrière sa ligne dans l'échange mais il s'en sort au final sans frayeur.
1h11
2
-
1
6-7 2-1
+
1h09
Jeu blanc également pour Federer, les deux hommes sont véritablement implacables au service aujourd'hui.
1h07
1
-
1
6-7 1-1
+
1h06
Jeu blanc d'Isner au service pour entamer la deuxième manche.
1h06
1
-
0
6-7 1-0
+
1h05
Set Federer ! Le retour de revers d'Isner est trop long et voilà le Suisse qui empoche la première manche. L'américain peut s'en vouloir car il a mal jugé une balle sur le point précédent, la laissant passer au lieu de la jouer à la volée et cette dernière échouant finalement sur la ligne. Quel premier acte en tous cas !
1h02
7-8, quatrième balle de set
1h02
7-7, Federer manque une attaque de coup droit à sa portée
1h02
Set 1
1h02
6
-
7
6-7
+
1h01
6-7, très bonne première au T de Federer, troisième balle de set
1h00
6-6, Isner ne lâche pas et fait craquer Federer en revers à l'aide d'un gros coup droit
1h00
5-6, splendide retour bloqué de Federer qui fait le mini-break et s'offre une deuxième balle de set
0h58
5-5, le retour slicé de Federer termine dans le filet
0h58
4-5, bonne première extérieure de Federer
0h57
4-4, vilaine double faute du Suisse
0h57
3-4, Inser s'écroule sur son attaque de coup et mini-break Federer
0h56
3-3, Federer refait son retard dans la foulée, Isner fait appel au Hawk-Eye mais ça ne change rien la balle est sur la ligne
0h55
3-2, cette fois c'est Federer qui voit son coup droit terminer dans le filet et mini-break pour Isner
0h55
2-2, le coup droit d'Isner échoue dans le filet
0h54
2-1, ace d'Isner
0h54
1-1, la balle d'Isner accroche la ligne
0h53
1-0, point bien construit par Federer qui finit par un smash après rebond
0h52
Et voilà, c'est un jeu décisif qui départagera les deux joueurs dans cette première manche.
0h51
6
-
6
6-6
+
0h51
A-40, un coup droit de Federer qui s'échappe
0h51
40-40, Un énorme service au T pour l'écarter
0h50
40-A, balle de set Federer
0h50
40-40, nouvelle égalité après qu'Isner ait laissé passé une seconde balle de jeu.
0h48
40-40, le coup droit d'Isner est trop long
0h48
40-30, et un service surpuissant au T pour s'offrir une balle de tie-break
0h47
30-30, Isner revient à hauteur grace à deux beaux enchaînements
0h46
0-30, Attention danger sur le service de l'Américain
0h45
Federer continue de dérouler au service. Nouveau jeu blanc et Isner va une fois de plus servir pour rester dans le premier set.
0h43
5
-
6
5-6
+
0h42
Et c'est un jeu blanc également pour Isner. Le jeu décisif se rapproche.
0h42
5
-
5
5-5
+
0h40
Nouveau jeu blanc pour Federer qui va donc forcer Isner à servir pour rester dans cette première manche.
0h39
Un seul point concédé cette fois-ci, toujours aucun problème pour Isner sur son service. L'Américain ne fait cependant pas que servir, il dicte également sa loi dans l'échange, loin du rôle auquel certains voudraient le cantonner.
0h38
4
-
5
4-5
+
0h36
4
-
4
4-4
+
0h33
Réponse du berger à la bergère, jeu blanc également pour Federer qui continue de faire la course en tête.
0h32
3
-
4
3-4
+
0h31
Jeu blanc pour Isner qui n'a pas perdu le fil pendant cette courte interruption.
0h30
3
-
3
3-3
+
0h29
Le jeu reprend sur le Stadium 1, pas d'échauffement.
0h28
Federer s'active pour rester chaud pendant qu'Isner reste tranquillement assis une serviette sur les épaules.
0h26
Isner et Federer sont toujours assis à l'abris sur leur chaise alors que les ramasseurs de balles se sont armés de serviettes pour sécher les lignes. Le jeu ne devrait pas tarder à reprendre.
0h21
Une petite bruine vient de faire son apparition sur le Tennis Garden. Le match est interrompu mais les deux joueurs restent sur leur chaise sous un parapluie en attendant que cela passe.
0h19
Il y a de nouveau beaucoup de vent sur le court aujourd'hui mais cela ne semble pas du tout gêner les deux hommes pour l'instant.
0h18
Pas de balle break à défendre cette fois, jeu de service bien maîtrisé par Federer avec au passage quelques petits éclairs de génie en coup droit.
0h16
2
-
3
2-3
+
0h15
Petit moins bien en première balle pour Isner sur ce jeu mais le coup droit a bien prit le relais et il tient son engagement sans frayeur.
0h13
2
-
2
2-2
+
0h11
Le combat est lancé ! Federer a dû batailler pour tenir son service, sauvant trois balles de break face à un Isner qui est reparti sur les bases de son match face à Djokovic.
0h09
1
-
2
1-2
+
0h03
1
-
1
1-1
+
0h01
C'est parti sur le Stadium 1, Federer est au service pour entamer cette finale.
0h00
0
-
1
0-1
+
Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
Battu par Jarry, Tsitsipas invoque un motif sueprenant: “J’ai l’impression de lui avoir donné le match” Alors qu’il faisait désormais office de favori au sacre (en l’absence des principaux cadors du circuit), Stefanos Tsitsipas a chuté ce jeudi. Jusqu’alors très solide, le Grec est retombé dans ses travers. Opposé à un Nicolas Jarry jouant crânement sa chance, le numéro 8 mondial est tombé dans le piège. Malgré un début de match tonitruant, il n’a pas su faire de différence définitive lorsqu'il en a eu l’occasion. En face, le Chilien n’a rien lâché, encourageant après chaque point ou presque. Finalement, il a surpris Tsitsipas par deux fois, le breakant au meilleur des moments à chaque fois. Vainqueur d’un match que personne ne le voyait gagné, il a pu lever les bras après plus de 2h30 de combat (3-6, 7-5, 6-4). Mine de rien, il s’agit déjà de son troisième succès face à un top 10, le deuxième sur ocre (après Alcaraz à Buenos Aires et Ruud à Miami). Questionné sur cette étonnante défaite, Tsitsipas n’a que très peu parlé de la performance de son adversaire. Dans une déclaration pouvant questionner sur son humilité, le Grec explique avoir bien mieux joué de son adversaire : “J’ai l’impression de lui avoir donné le match d’une certaine manière. j’ai l’impression qu’on m’a volé ! Dans le sens où c’était vraiment le niveau de mon jeu qui dictait le match. J’ai joué un tennis incroyabl aujourd’hui, j’ai fait du très bon travail, surtout au début du match. J’ai montré que j’étais bien meilleur dans beaucoup de choses et que j’allais dans le bon sens. Et soudain, j’ai “chuté” et je n’ai pas pu retrouver le rythme que j’avais au début. Ce n’est pas une journée facile pour moi, car je pense vraiment que j’aurais dû gagner ce match. J’ai fait beaucoup de choses de travers, j’ai beaucoup douté de moi. Je n’ai pas eu le courage et la capacité d’adaptation nécessaires pour prendre le match à mon compte.”
À Rome, Sabalenka met tout le monde d’accord La saison 2024 d’Aryna Sabalenka suit une trajectoire assez originale. Finaliste à Brisbane (battue par Rybakina) et surtout sacrée à l’Open d’Australie, la Biélorusse a connu un début de saison quasi-parfait. Oui, mais voilà, les choses se sont gâtées par la suite. Perdant une part de sa motivation puis subissant le décès de son ex-compagnon en mars, Sabalenka a eu du mal à rester concentrée sur son tennis. C’est simple, avant Madrid, la numéro 2 mondiale ne comptait que 4 victoires en 7 matchs.  Heureusement, elle a retrouvé le chemin de la victoire. Arrivant à Madrid en manque de confiance, Sabalenka a enchaîné les victoires, souvent difficiles. Revigorée par cette spirale positive, elle fait de nouveau figure d’épouvantail. Enchaînant des victoires sur Collins, Andreeva et surtout Rybakina, la joueuse de 26 ans a finalement calé en finale du tournoi espagnol face à la meilleure joueuse du monde, Iga Swiatek (7-5, 4-6, 7-6). Engagée dans un tournoi romain qu’elle n’a pourtant jamais gagné, la Biélorusse impressionne toujours autant. Portée par un public italien qui la soutient avec une grande ferveur, elle semble imperturbable. Remerciant son public après chaque match ou presque, elle se présentera en finale ce samedi. Alternant entre des victoires tranquilles et des matchs beaucoup plus difficiles, Sabalenka a toujours répondu présente. En effet, elle a sauvé des balles de match face à Svitolina avant de parfaitement maîtriser Ostapenko et Collins.  Plus que jamais numéro 2 mondiale, elle a gagné le droit de disputer une revanche face à son bourreau de Madrid, Iga Swiatek.  Dans une finale qui tend à devenir un classique, les deux meilleures joueuses de la planète vont donc se retrouver, deux semaines après s’être affrontées en Espagne, pour un 11e affrontement en carrière. Une chose est sûre : Sabalenka est en train de s’affirmer comme la seule joueuse capable de régulièrement challenger la domination de la Polonaise.
Rétrospective #2 : Le jour où Nadal et Federer se sont livrés à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire (Rome 2006) “Vraiment. Rafa est une personne géniale, avec de belles valeurs. Aujourd’hui, il m’a confié avoir pleuré quand j’ai gagné mon Roland-Garros en 2009 tellement il était heureux pour moi.” Cet extrait d’une des multiples interviews accordées par Roger Federer montre très bien la relation toute particulière qu'entretiennent ces deux légendes de notre sport. Cette même rivalité bienveillante qui avait réussi l’exploit d’attirer près de 52000 personnes, le chiffre record pour un match de tennis, à Cap Town en 2020. Questionné sur l’évolution de leur rapport à travers le temps, lors de la Laver Cup 2017, Roger se souvient : “Au début, Rafa était timide, toujours très respectueux envers les autres joueurs du top 10, et moi en particulier parce que j’étais numéro 1 mondial. Puis sa personnalité s’est affirmée. Nous avons eu de rudes et douloureuses batailles sur le court, quelques brouilles, aussi, mais il y a toujours eu un énorme respect entre nous.” Oui, Federer et Nadal ont connu plusieurs rudes batailles menant en effet à quelques brouilles. Et, l’une des plus mémorables remonte au 14 mai 2006 lorsque les deux légendes se sont affrontées en finale du Masters 1000 de Rome. - Un peu de contexte En 2006, ce sont les deux meilleurs joueurs de la planète. D’un côté, Roger Federer est incontestablement le tennisman le plus costaud. Numéro 1 mondial depuis février 2004, il est très solidement ancré sur le trône et ne le quittera plus jusqu’au mois d'août de l’année 2008. En face du Bâlois, c’est Rafael Nadal qui se présente. En 2006, c’est lui le challenger le plus crédible face à l’hégémonie du Suisse. Dauphin de Federer depuis juillet 2005, il le restera jusqu’en août 2008, moment où il finira par passer devant le Maestro au classement. Avant de parler un peu plus en détail de ce duel monstrueux, il convient de revenir sur les saisons de ces deux titans. À seulement 19 ans, ‘Rafa’ réalise un exercice 2006 de très haut niveau : il remporte 58 matchs sur 70, s’adjuge 5 titres (Dubaï, Monte-Carlo, Barcelone, Rome, Roland-Garros) et perd une finale (à Wimbledon, battu par Federer). Federer, de son côté, réalise une saison presque inhumaine. En 17 tournois joués en 2006, Roger ne chute avant la finale qu’une seule fois (battu par Murray à Cincinnati). Le Suisse, au sommet de son art, remporte 90 matchs sur 95 et s’adjuge 12 titres dont trois en Grand Chelem (Doha, Open d’Australie, Indian Wells, Miami, Halle, Wimbledon, Montréal, US Open, Tokyo, Madrid, Bâle, ATP Finals). Le seul à lui résister c’est ‘Rafa’. L'Espagnol privera le Bâlois de quatre titres dont bien sûr Roland-Garros ce qui empêchera le Maestro de réaliser le Grand Chelem calendaire. Heureusement, Federer maîtrisera bien mieux son adversaire sur la suite de la saison, remportant leurs deux derniers matchs. Ce n’est pas un secret, les duels entre Federer et Nadal ont marqué plusieurs générations de passionnés. Dans l’histoire du tennis, les « Fedal », c’est 40 matchs (24 victoires à 16 pour Rafa). 2006 restera l’année de leur rivalité puisqu’ils se sont rencontrés à 6 reprises. Beaucoup de leurs duels mériteraient un article. Seulement, ce qui nous intéresse ici, c’est le Masters 1000 de Rome. Et, en 2006, ces deux-là s’étaient livrés, dans la ville éternelle, à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire du tennis. - Un match pour écrire l’histoire À cette époque, Federer est frustré. Restant sur 3 défaites consécutives face à l’Espagnol, il veut prendre sa revanche. Battu à Monaco, trois semaines plus tôt, le Suisse estime se rapprocher de la bonne stratégie : “J’ai joué plus intelligemment qu’à Roland-Garros (demi-finale 2005) aujourd’hui (à Monaco). Je me rapproche, j’ai fait un pas de plus vers la solution pour le battre sur terre.”. De l'autre côté du terrain, Rafa, 19 ans, est déjà un roi. Depuis sa défaite face à Igor Andreev à Valence en 2004, il en est à 52 succès consécutifs sur ocre. C’est ainsi qu'il se trouve déjà à une unité du record de mammouth de Guillermo Vilas (53 victoires de rang sur terre battue). Pour égaler l’Argentin, il doit s’imposer face à Federer au sein du Foro Italico. Là où, un an plus tôt, il avait battu, au terme d’un des plus grands matchs de l’histoire sur terre battue, Guillermo Coria. - Federer, un numéro 1 mondial revanchard Dès le premier point joué, Federer passe des paroles aux actes. Il a un plan. Il joue en plein dans le revers du majorquin, dans des zones assez centrales pour éviter de trop gros décalages et bondit au filet dès que possible. Remportant 15 points sur 18 au filet, il finit par s’adjuger le premier acte au terme d’un tie-break à sens unique (7-0). Perfectionnant son jeu depuis des mois pour pouvoir contrer Nadal sur ocre, le Suisse bluffe son monde. Utilisant l’amorti bien plus qu’à l’accoutumé, il fait m
Interrogé sur Roland-Garros, Roddick s’attend à un tournoi plus ouvert que jamais : “Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi” On le sait, cette édition de Roland-Garros s’annonce plus indécise que jamais. Du moins, chez les hommes. Pour rappel, Carlos Alcaraz et Jannik Sinner sont toujours en délicatesse avec leur physique, Novak Djokovic est encore très loin de sa forme et Rafael Nadal peine à retrouver un niveau vraiment satisfaisant. Ce contexte, rarissime dans le tennis masculin, risque de nous offrir un tournoi plus ouvert que jamais et certains outsiders pourraient finalement endosser un costume de favori. C’est en tout cas ce que pense Andy Roddick, ex numéro 1 mondial et vainqueur de l’US Open 2003. Dans des propos relayés par Tennis Channel, le champion américain, titré à l’US Open 2003 explique qu’un grand nombre de joueurs pourraient s’imposer cette année : “Chaque joueur du top 4 mondial, ou presque, a un problème physique à l’approche du tournoi. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de tournois du Grand Chelem au cours des 25 dernières années, en tout cas chez les hommes, pour lesquels nous puissions dire : ‘Oui, le tournoi est ouvert’. [...] Notre favori est un gars qui souffre d’une blessure à l’avant‐bras et qui n’a pas joué deux des trois derniers Masters 1000 (Carlos Alcaraz). D’ailleurs, Medvedev, Rublev et Ruud aimeraient aussi avoir leur mot à dire, tout comme Taylor Fritz et encore d’autres. Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi. Je crois que l’occasion se présente pour de nombreux joueurs que l’on ne considère pas forcément comme des favoris.”
Héroïque, Jarry renverse Tsitsipas à Rome C’est un vrai festival chilien qui frappe l’Italie. Après la qualification d’Alejandro Tabilo ce mercredi, c’est cette fois Nicolas Jarry qui a obtenu son billet pour les demi-finales. Opposé à un Stefanos Tsitsipas pourtant très en confiance, le numéro 24 mondial a fait preuve d’une grande résilience pour réussir à s’imposer (3-6, 7-5, 6-4 en 2h39). Dans un duel de haut niveau où les deux hommes ont joué un tennis très agressif, c’est finalement Jarry qui a été le plus costaud. Bluffant de réalisme, le Chilien a ainsi écarté 11 balles de break sur l’ensemble de la partie. Longtemps dominé, il a su faire le dos rond pour finalement profiter d’un petit coup de moins bien du Grec pour le coiffer au poteau. Rapidement mené d’un break puis d’un set (3-6), le joueur de 26 ans n’a rien lâché. Dominé une bonne partie du deuxième acte, il a finalement tenu sa mise en jeu, non sans écarter plusieurs balles de break, avant de surprendre Tsitsipas au meilleur des moments pour recoller (7-5). Bis repetita au dernier set. Malgré une superbe entame de son entame adversaire, Jarry va débreaker avant de réaliser un ultime break, synonyme de victoire (3-6, 7-5, 6-4). Qualifié sur une dernière défense de fond de court assez bluffante, il va donc vivre sa première demi-finale de Masters 1000 en carrière. De son côté, Tsitsipas manque une énorme occasion. Au vu de l’hécatombe romaine, le numéro 8 mondial avait une belle occasion de sacre. Surpris par un adversaire très relâché, il va devoir encore attendre s’il veut ajouter son nom au palmarès du tournoi. Bien que très en forme, il lui faudra encore mieux faire pour s’imposer à Roland-Garros, dans un peu plus d’une semaine. Nicolas Jarry, quant à lui, va devoir vite se remettre de ses émotions puisqu’il sera de retour sur le court dès demain pour y défier Tommy Paul, tombeur d’Hubert Hurkacz un peu plus tôt dans la journée (7-5, 3-6, 6-3).
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